En arrivant Pascal a découvert qu'il n'aurait pas que son hôtel mais que la compagnie avait aussi une branche dans la restauration d'aviation.
Situé tout à coté de l'aéroport dans une cours faite de coquillages le lieu est clair et spacieux et surtout, rareté, la compagnie est propriétaire de camions réfrigérés. Indispensable soit, mais une rareté tout de même dans ce pays qui débranche les congélateurs la nuit pour limiter les frais de consommation électrique. Et ce pas que chez les particuliers, mais aussi dans bien des magasins/supérettes.
Au départ, il y a eu beaucoup, beaucoup de boulot pour rendre le lieu correct. Ensuite la deuxième phase a été de tout mettre aux normes internationales pour pouvoir obtenir le marché 4 fois par semaine de Brussels Airlines. Le boulot achevé a été énorme et le retard dans les contrôles de conformité par la compagnie nous a retardé les vacances de notre Pascal qui souhaitait mettre en place son "bébé". Il en aura "accouché" d'un mais malheureusement cette année-ci aura raté le mois de vacances avec ses vrais grands bébés. Célia, pas dur, on a pu y aller 5 jours fin septembre, mais pour Anton-E reparti à Ottawa il faudra être patient et attendre l'an prochain.
Brussels est content des produits présentés et le contrat signé pour les classes éco pour démarrer. Croisons les doigts car c'est un juteux marché et surtout cela apporte du travail régulier à bon nombre de personnes ... si tant est qu'elle soient motivées.
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