mercredi 8 février 2012

Un dollar dans la poche

    Enfin, je me suis promenée seule oggi et grand bien m'en a fait car j'ai fait une sacrée découverte. Bien sur il m'a fallu écarter gentiment mais fermement tout "bumper". C'est comme cela ici qu'ils appellent les gens qui abordent pour quelque chose. Quand on "bump" c'est que l'on rentre dedans. A Maurice les vendeurs de plage étaient des "hawkers" (faucons). Toujours des petits noms bien sympa !

    Photo haut droite : "mais où est clypeaster?"

    Depuis 3 semaines que je suis là, j'avais aperçu de drôles de petits coquillages. Je pensais qu'ils s'usaient d'une manière bizarre, mais comme la terre est basse ☺ et que j'étais toujours "accompagnée" je n'y avais pas prêté plus attention que cela. Ce matin, mon oeil s'est arrêté sur ce coquillage parfait qui avait une forme d'étoile en son coeur, et là c'est le mien qui s'est soulevé. Hourra, victoire, j'ai pensé à vous si fort Nathalie et Alain. Avez-vous ressenti cette connexion lointaine, en ce matin du 1er février ?
   Je venais de trouver un mimi joli dollar des sables. Un oursin comme à Maurice seulement que celui-ci ne nécessite pas de longues recherches avec masque et tuba vu qu'il est rejeté en grande quantité par l'océan. Il a aussi une forme différente vu qu'il est cranté sur une moitié. Serait-ce un début de roue de la fortune ? 
  
  
  J'en ai ramassé 1, puis 2, puis 3, puis... au final il y en avait tant que mes mains étaient pleines. Au départ je les avais mis dans ma poche, mais vu leur fragilité, extrême, j'ai du changer de tactique. Quelles petites merveilles que ces clypeasters. Mon rouge à lèvre est un bon repère pour se rendre compte de la taille (entre 1 et 3 cm). Les classiques oursins-dollar font plus dans les 6-7cm de diamètre.    

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